J'ai fait une robe... que je porte !
Suite de mon aventure robe avec Anne-Lise de Je t'aime mon loup.
Après ma toile, je me suis lancée plutôt confiante dans la confection de la version finale de ma robe.
Aucun souci pour la jupe. Assemblée à la surjeteuse, elle a été ultra rapide à faire. Par contre, en ce qui concerne le corsage, j'ai dû m'y reprendre à plusieurs fois : la première version cousue en suivant les modifications décidées suite à ma toile a été un gros fiasco : emmanchure trop étroite, tissu trop tendu, décolleté trop profond et trop large. Bref, un gros flop !
J'ai donc refait un corsage en suivant le patron initial et ai tenté de rajouter deux pinces de part et d'autre de l'encolure. C'était très moche. Je ne suis vraiment pas au point pour les pinces : elles font des petites poches au niveau de la pointe.
Donc, me voilà reparti pour tout découdre. A ce stade, je me suis demandée si le tout n'allait pas partir à la poubelle ! A quoi bon prendre le temps de faire une toile si c'est pour galérer autant après ?
Ultime tentative, j'ai froncé l'encolure, cousu un biais pour terminer proprement et poussé un gros soupir de soulagement vu que le résultat, sans être parfait, me convenait (comprenez était portable. Le rendu, en particulier au niveau des bretelles, ne me satisfait pas totalement).
Ce qui me rassure, c'est que Anne-Lise, qui pourtant a l'habitude de coudre des vêtements, m'a avouée avoir trouvé ce patron galère !
Le nombre de photo est proportionnel au temps passé sur ce projet !
Robe portée !
Noeud pap assorti pour Monsieur !
Coton du marché aux tissus de Strasbourg.
N'hésitez pas à aller faire un tour chez Je t'aime mon Loup pour y voir la superbe version d'Anne-Lise ! Vu que sa robe est reversible, Anne-Lise a en fait cousu deux robes. Chapeau !
Quand je dis que la couture permet de faire de belles rencontres !